La perte de Lyman, où se trouve un important point de jonction ferroviaire pour l’approvisionnement des forces russes, est un revers de taille pour l’armée russe, qui n’arrive plus à contrôler la totalité des territoires qu’elle occupe en Ukraine. Et ce, en dépit de l’annexion au territoire russe des régions de Louhansk, Donetsk, Kherson et Zaporijia la semaine dernière.
“L'annonce des annexions contraste fortement avec la réalité militaire sur le terrain”, constate Michael Kofman, du centre de réflexion Center for a New American Security (CNAS).
En effet, après avoir cédé le nœud ferroviaire de Lyman, l'armée russe a dû se replier à la hâte en direction de Svatové, à mi-chemin entre les grandes villes de Severodonetsk et Lyssytchansk cédées par les Ukrainiens à la fin juin après des semaines de bombardements russes.
Or, depuis hier, ces deux villes considérées comme un verrou important pour l'occupation du Donbass, sont désormais à portée de l’artillerie ukrainienne et ironiquement des stocks d'armes et de munitions abandonnés par les Russes dans les entrepôts de Koupiansk et de Lyman.
Kiev maintient la pression dans le sud
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Radio-Canada, le 3 octobre 2022
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