Ce blogue s'adresse à tous, il se veut rassembleur, ouvert sur le monde, sur ses beautés et ses réalités. Ses champs d'intérêt: nature, photographie, politique, sujets d'actualité, chroniques venues d'ailleurs, billets d'humeur et d’humour. Mais depuis le 24 février 2022, il s’intéresse quotidiennement à ce qui se vit en Ukraine, une guerre qui bouscule profondément le peuple ukrainien et l’humanité entière.
samedi 11 mars 2023
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vendredi 10 mars 2023
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Le Devoir, le 8 mars 2023
mardi 7 mars 2023
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lundi 6 mars 2023
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dimanche 5 mars 2023
Jour 375 - Pendant que les combats s’intensifient à Bakhmout, la poutine crée des quiproquos en France
Rien de nouveau à Bakhmout, petite nouvelle qui fait sourire...
«Plat québécois emblématique, la poutine vaut depuis le début de la guerre en Ukraine quelques déboires au restaurant strasbourgeois Les Poutinistes, spécialiste de ce met roboratif, certains y voyant un jeu devenu inconvenant avec le nom du président russe.
« C’est surprenant ce qui nous arrive », affirme à l’AFP Christophe Fliegans, le gérant de cette affaire ouverte en 2019, qui estime à « entre 30 et 50 % » la baisse de son chiffre d’affaires depuis le début du conflit.
Alors que les ventes à emporter sur les plateformes de livraison de cette spécialité à base de frites, fromage et sauce brune fonctionnaient bien, notamment auprès des étudiants, « les choses ont assez vite basculé » après le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie de Vladimir Poutine, le 24 février 2022, se souvient-il.
Ailleurs en France, d’autres restaurants proposant le même plat, notamment à Toulouse et Paris, ont commencé « à se faire chahuter », explique M. Fliegans.
« On s’est fait insulter »
Au début, les Poutinistes strasbourgeois, n’ont eu droit qu’à « quelques commentaires sur les réseaux sociaux, sans plus », poursuit le restaurateur.
L’établissement décide alors de rajouter sur les plateformes de livraison « un emoticon drapeau canadien » à côté du mot « poutine ».
Mais un peu plus tard dans l’année, lors d’événements où ils proposaient le fameux plat québécois, les choses virent à l’aigre : « On s’est fait insulter à plusieurs reprises », dit M. Fliegans. [...]
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Agence France-Presse à Strasbourg
Le Devoir, le 4 mars 2023