« Quand nous sommes heureux,
nous sommes toujours bons,
mais quand nous sommes bons,
nous ne sommes pas toujours heureux. »
Oscar Wilde
écrivain britannique
1854-1900
samedi 11 avril 2015
vendredi 10 avril 2015
Survivre
« C'est cela, sans doute, faire son deuil :
accepter que le monde continue,
inchangé,
alors même qu'un être essentiel à sa marche en a été chassé.
Accepter que les lignes restent droites et les couleurs intenses.
Accepter l'évidence de sa propre survie. »
Blandine Le Callet
romancière et essayiste française
née en 1969
jeudi 9 avril 2015
Le sourire du jour
« Certains sentent la pluie à l’avance,
d’autres se contentent d’être mouillés. »
Henry Miller
romancier et essayiste américain (États-Unis)
1891-1980
mercredi 8 avril 2015
Un retour attendu
Depuis plusieurs jours,
nous attendions leur retour bruyant.
Elles se sont posées silencieusement
pendant la nuit,
comme pour nous faire la surprise au matin.
Elles sont présentement sous nos fenêtres.
Lasses peut-être de leur long parcours,
elles sont des centaines à se laisser porter par le courant.
Bienvenue, les bernaches, bon retour !
mardi 7 avril 2015
Regarder pour voir
« Il suffit de regarder
une chose avec attention
pour qu’elle devienne intéressante. »
Eugenio d’Ors Y Rovira
écrivain espagnol
1881-1954
lundi 6 avril 2015
Humeurs gourmandes
Mes humeurs de ce matin sont hantées par des images du festin que nous a concocté hier notre amie N. Cette femme hors du commun a la gourmande habitude d’inviter ses deux meilleures amies à fêter son anniversaire. J’ai la chance et le bonheur d’être l’une de celles qui profitent de son incroyable générosité. Ses menus sont toujours surprenants, conçus avec originalité et accompagnés de vins sélectionnés avec soin.
La première entrée, un ceviche de crevettes et de pétoncles, nous a été servie avec sa marinade dans des coupes givrées. Une entrée tout en fraîcheur qui s'est laissé déguster avec un bon bourgogne.
Le potage, une fine purée de pois verts parfumée à la menthe, était d’une étonnante légèreté. En son centre, le kéfir, garni de pignons dorés et de minuscules feuilles de menthe, ajoutait une note crémeuse et festive à cette seconde et savoureuse entrée qui aurait pu voler la vedette au repas si le plat de résistance n’avait pas été aussi exquis.
Car c'est l’osso buco de veau confit et son pesto de roquette qui furent pour moi la plus suave découverte de ce festin pascal. Servie avec des pâtes nappées d’une sauce tomate, cette viande fondante était une explosion de saveurs et chaque bouchée, un bonheur pour mes papilles comblées.
À tel point que j’ai préféré apporter le dessert, un tiramisu que je dégusterai ce midi, comme pour prolonger le plaisir de ce mémorable repas.
Que dire de ce délice qui nargue les nuages par son velouté ? Du sublime que j’ai pu partager avec mon goûteur, lequel n’a eu que des éloges pour cette fine gourmandise des dieux.
Merci délicieuse amie !
La première entrée, un ceviche de crevettes et de pétoncles, nous a été servie avec sa marinade dans des coupes givrées. Une entrée tout en fraîcheur qui s'est laissé déguster avec un bon bourgogne.
Le potage, une fine purée de pois verts parfumée à la menthe, était d’une étonnante légèreté. En son centre, le kéfir, garni de pignons dorés et de minuscules feuilles de menthe, ajoutait une note crémeuse et festive à cette seconde et savoureuse entrée qui aurait pu voler la vedette au repas si le plat de résistance n’avait pas été aussi exquis.
Car c'est l’osso buco de veau confit et son pesto de roquette qui furent pour moi la plus suave découverte de ce festin pascal. Servie avec des pâtes nappées d’une sauce tomate, cette viande fondante était une explosion de saveurs et chaque bouchée, un bonheur pour mes papilles comblées.
À tel point que j’ai préféré apporter le dessert, un tiramisu que je dégusterai ce midi, comme pour prolonger le plaisir de ce mémorable repas.
Que dire de ce délice qui nargue les nuages par son velouté ? Du sublime que j’ai pu partager avec mon goûteur, lequel n’a eu que des éloges pour cette fine gourmandise des dieux.
Merci délicieuse amie !
dimanche 5 avril 2015
Avancer pour ne pas reculer
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| Trois grands harles, dont une femelle au centre. Merci Simon qui a su les identifier ! |
« Celui qui ne progresse pas chaque jour
recule chaque jour. »
Confucius
philosophe chinois
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