Ce blogue s'adresse à tous, il se veut rassembleur, ouvert sur le monde, sur ses beautés et ses réalités. Ses champs d'intérêt: nature, photographie, politique, sujets d'actualité, chroniques venues d'ailleurs, billets d'humeur et d’humour. Mais depuis le 24 février 2022, il s’intéresse quotidiennement à ce qui se vit en Ukraine, une guerre qui bouscule profondément le peuple ukrainien et l’humanité entière.
samedi 24 septembre 2022
Jour 213 - Annexions russes: Biden promet des sanctions
vendredi 23 septembre 2022
Jour 212 - Escalade russe: entre délire et condamnation
Le président russe, Vladimir Poutine, a choisi la Journée internationale de la paix, le 21 septembre, pour faire monter la tension d’un nouveau cran dans la guerre d’invasion qu’il a lancée contre l’Ukraine le 24 février dernier. Comment ? Par un discours à la nation livré mercredi matin, dans lequel il appelle à une conscription partielle des réservistes russes pour reconstituer ses forces armées repoussées et élaguées depuis des mois par une résistance ukrainienne que l’homme fort du Kremlin n’avait pas soupçonnée.
Un appel sans précédent depuis la Deuxième Guerre mondiale
en Russie, utilisé par Poutine pour braver une nouvelle fois les pays occidentaux, contre lesquels Moscou prétend devoir se défendre, mais un appel qui, à terme, pourrait conduire le président russe ailleurs que là où il espère aller. Décryptage.
Fabien Deglise,
Le Devoir, 22 septembre 2022
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jeudi 22 septembre 2022
Jour 211 - Poutine brandit l’arme nucléaire
Vladimir Poutine a mobilisé mercredi des centaines de milliers de réservistes pour relancer son offensive en Ukraine et a brandi la menace d’un recours à l’arme nucléaire, que les États-Unis ont dit « prendre au sérieux ».
Mais cette mobilisation partielle a provoqué des manifestations improvisées dans au moins 38 villes de Russie et l’arrestation d’au moins 1332 personnes. Il s’agit des plus importantes protestations en Russie depuis celles ayant suivi l’annonce de l’offensive de Moscou en Ukraine fin février.
À la tribune de l’ONU, le président américain, Joe Biden, a de son côté attaqué frontalement la Russie, membre permanent du Conseil de sécurité, l’accusant d’avoir « violé de manière éhontée » les principes des Nations Unies depuis son offensive en Ukraine.
Et après que Vladimir Poutine a menacé d’utiliser l’arme atomique, le président américain a insisté : « Il est impossible de gagner une guerre nucléaire et il ne faut pas la mener. »
Quelques heures plus tôt, dans une adresse à la nation, M. Poutine s’est dit prêt à utiliser « tous les moyens » dans son arsenal face à l’Occident qu’il a accusé de vouloir « détruire » la Russie. « Ce n’est pas du bluff », a-t-il assuré.
La mobilisation de réservistes a été décrite en Europe comme un « aveu de faiblesse » de Moscou, dont l’armée a essuyé ces dernières semaines des revers face aux forces ukrainiennes.
Les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne (UE) tiendront une réunion d’urgence informelle sur l’Ukraine mercredi soir à New York. La question de nouvelles sanctions sera « sur la table », selon le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell.
Se gardant d’annoncer une mobilisation générale, redoutée par des millions de Russes, M. Poutine en a décrété mercredi une « partielle », mesure jugée « urgente et nécessaire ». Selon le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, 300 000 réservistes sont concernés dans un premier temps.
Agence France-Presse
Le Devoir, 21 septembre 2022
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mercredi 21 septembre 2022
Jour 210 Poutine compte plus que jamais sur des mercenaires
Signe de désespoir ? Signe de dysfonctionnement ?