samedi 29 juin 2013

La pensée du jour





« On ne peut voir la lumière sans l'ombre, 
on ne peut percevoir le silence sans le bruit, 
on ne peut atteindre la sagesse sans la folie. »

Carl Gustav Jung

vendredi 28 juin 2013

Améliorer son apparence grâce aux aliments




Ces aliments source de beauté
Article d’Anne-Laure Vaineau, publié dans Psychologies.com

Rondelles de concombre sur les yeux, jaune d’œuf dans les cheveux… Grâce aux recettes « miracles » de nos grands-mères, il y a longtemps que notre cuisine s’est transformée en salon de beauté. Mais si, au lieu de tartiner notre corps d’aliments, on essayait plutôt de les mettre au menu pour en tirer les bienfaits ? Déguster un avocat adoucit la peau et manger des brocolis rend les cheveux plus brillants. Qui l’eut cru ?

Beauté et nutrition, un tandem de choc ? «Cela ne fait aucun doute, assure Véronique Lebar, médecin et consultante en cosmétologie et nutrition. Avec une alimentation bien pensée, il est tout à fait possible de nourrir nos cheveux, d’hydrater notre peau, ou encore de renforcer nos ongles.» Un travail de prévention capital. Car pour être belle, c’est en amont que tout se joue. «Une fois la fibre de la peau cassée ou les rides visibles, il est difficile de revenir en arrière», souligne la spécialiste. Peau grise, cheveux ternes, ongles cassants… N’attendons pas les premiers signes de faiblesse pour se mettre en cuisine.

De l’avocat et des poissons gras pour adoucir la peau
La peau se compose entre autres de cellules lipidiques et hydriques. En d’autres termes, de graisse et d’eau. Pour qu’elle ne s’assèche pas et qu’elle reste douce, il faut donc bien la nourrir, en misant sur les bonnes graisses (Oméga 3 et 6), et l’hydrater, en buvant beaucoup (eau, soupes, tisanes…), mais aussi grâce aux fruits et légumes, qui regorgent d’eau.
Au menu :
                  Des poissons gras : maquereau, sardine, saumon…
                  De l’avocat : composé de 20 % de graisses de bonne qualité : les acides gras insaturés
                  Des huiles végétales : olive, colza, pépins de raisin… À raison de 3 cuillères à soupe par jour et si possible en les alternant, voire en les mélangeant.
                  Des oléagineux : noisettes, olives, pistaches… qui renferment de 50 à 70 % de graisses.

Des agrumes et du beurre pour l’éclat
L’épiderme, les cheveux et les ongles sont tous les trois recouverts d’une même couche de protéine, la kératine, dont seule l’épaisseur varie de l’un à l’autre. Ainsi, leurs besoins sont similaires. Pour leur garantir force et éclat, il faut avoir recours à un véritable cocktail de vitamines. La vitamine C d’abord, qui leur donne un aspect soyeux et brillant. La vitamine A, pour la souplesse et la résistance, et la vitamine E, aux propriétés antioxydantes et antivieillissement. En complément, on n’oublie pas le sélénium, cet oligo-élément qui lutte contre le vieillissement cellulaire causé par le tabac ou la pollution.
Au menu :
                  Pour l’apport en vitamine C : des agrumes (orange, pamplemousse, citron…), des fruits exotiques (goyave, papaye, mangue…), mais aussi du brocoli (qui en contient presque trois fois plus qu’une orange !).
                  Pour l’apport en vitamine A : du beurre, des œufs, du foie.
                  Pour l’apport en vitamine E : des huiles végétales et des noix.
                  Pour l’apport en sélénium : des viandes et des crustacés.

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jeudi 27 juin 2013

Nous défaire de ce qui nous encombre




J’ai testé l’art du vide
Article de Pascale Senk publié dans Psychologies.com

« Se défaire du superflu dans sa maison, alléger sa garde-robe ou son bureau peut s’apprendre. Une idée initiée au Japon par Dominique Loreau. Promenant son regard de minimaliste dans l’appartement de l’une de nos journalistes, elle a procédé à un “état des lieux” sans concession.

Plein comme un œuf. Voilà ce que j’ai pensé en me retrouvant dans mon appartement après un long séjour à l’étranger. Est-ce parce que, là-bas, les rues, les maisons sont beaucoup plus larges et spacieuses ? Tout à coup, les murs me semblaient chargés, les pièces étaient étouffantes, les objets que j’avais pourtant aimés et choisi d’exposer m’apparaissaient sans éclat. Mais comment retrouver fraîcheur et légèreté dans mon lieu de vie ?

Je décidai alors de faire appel à Dominique Loreau. Adepte du minimalisme, cette Française, installée au Japon depuis plus de vingt ans, propose là-bas, le temps d’un week-end, des séminaires destinés à tous ceux qui ne savent plus quoi faire de tout ce qui les encombre. Une preuve que les difficultés à y voir plus clair, à trier et à renoncer sont universellement partagées. Pour elle, le minimalisme est une véritable philosophie que l’on apprend peu à peu à pratiquer dans tous les domaines de sa vie.

En arrivant chez moi, Dominique Loreau m’explique qu’elle voyage toujours très léger : « Pour venir du Japon, je n’emporte qu’un sac qui contient tout ce dont j’ai besoin pour vivre, le minimum. Du coup, je n’ai pas de bagage à enregistrer ! » Une disponibilité et une légèreté qui me font envie. Cette coach d’un genre nouveau va passer deux heures à dénicher les multiples facettes du "trop-plein" qui règne dans mon appartement. Un état des lieux qui pousse à la réflexion et doit surtout mener… à l’action. Visite guidée.

L’entrée : Ne garder que ce qui est utile ou très beau.
C’est le premier commandement que lâche Dominique en parcourant des yeux les huit mètres carrés de l’entrée de mon appartement. Exit donc le banc de jardin en bois vert : ici, il ne sert jamais à s’asseoir et n’a rien d’une œuvre d’art. Exit aussi les faïences marocaines. Je proteste : « Mais elles mettent de la couleur sur les murs ! » « Oui, me répond la coach, mais un plat à grains reste un plat à grains. Sa place naturelle est dans un placard de cuisine. »
Quant au bibelot taoïste en bois que j’ai posé sur un meuble bas, un cadeau de famille que je ne regarde jamais, Dominique me suggère de le photographier et de le "ranger" dans la mémoire de mon ordinateur si vraiment je veux en garder le souvenir. L’entrée se satisfera donc du tapis, des larges miroirs et… de ce meuble bas, s’il contient réellement des objets que je ne peux ranger ailleurs. (…)»

Pour lire l’article au complet :

mercredi 26 juin 2013

Un autre champion de la pollinisation



Indispensable bourdon
Article  publié par Agence Science Presse le 25 juin 2013

Méconnu et malaimé, le bourdon est souvent vu comme une « sous-abeille ». Peu étudié, cet hyménoptère, du genre Bombus, est indigène au Québec et un champion de la pollinisation. Lorsqu’il butine, il opère une petite secousse qui dépose sur son dos une grande quantité de pollen. Ses populations, comme celles des autres abeilles, subissent aussi un déclin. Le Muséum national d’histoire naturelle de Paris et l’association Asterella créaient en son honneur, il y a cinq ans, un observatoire à bourdons. Pour héberger ces insectes dans votre jardin – les bourdons sont très profitables aux framboises -, recourez aux ruches de bourdons ou fabriquez un hôtel à insectes avec quelques branches creuses.

Pour en savoir plus
Une coalition d’organismes québécois réclame l’interdiction de pesticides pour sauver les abeilles

Pour lire l’article au complet :
http://www.sciencepresse.qc.ca/actualite/2013/06/25/buzz-abeilles

mardi 25 juin 2013

Parole de sagesse


Vendeurs de légumes mexicains. Photo prise en 1979.


«Si chacun ne conservait que ce dont il a besoin, nul ne
manquerait de rien, et chacun serait satisfait de ce qu'il a.»

Gandhi 

dimanche 23 juin 2013

Tous les airs se démodent, pas le chant des oiseaux !





« La musique commence là où s'arrête le pouvoir des mots.»

Richard Wagner

La musique rend-elle heureux ?
La réponse d’un neurologue
Article publié sur Yahoo, actualités France
Par fluctuat | Fluctuat – ven. 21 juin 2013


«Dans une petite vidéo pédagogique réalisée pour le site thinkovery, le neurologue Pierre Lemarquis nous explique comment la musique agit sur notre cerveau et peut nous rendre heureux... mais aussi triste.

Si l'action bénéfique de la musique sur le cerveau apparait comme une évidence pour le mélomane, l'explication de ce mécanisme en termes scientifiques n'en demeure pas moins intéressante. Ainsi, Pierre Lemarquis, neurologue spécialiste de la question, nous détaille par quel processus une chanson nous fait du bien en actionnant le circuit du plaisir et de la récompense.

Ce qui est formidable, nous explique Lemarquis, c'est que la musique active toute une série de neuromédiateurs et peut par conséquent répondre à une large palette de "besoins".

Grâce à la dopamine, la musique nous fait plaisir. La sérotonine, qu'on retrouve dans les antidépresseurs, peut nous aider à lutter contre un coup de cafard. L'endorphine permet ni plus moins de lutter contre les douleurs. Enfin, l'écoute d'une chanson peut même nous faire sécréter de l'adrénaline, et donc remplir le rôle d'un énergisant.



Bref, de quoi remplacer avantageusement cigarettes, alcool, café, aspirine et autres prozac.  Lemarquis conclut que "la musique on peut susciter tous les sentiments humains, du suicide à l'orgasme", citant l'exemple de la chanson "Gloomy Sunday", sommet de mélancolie écrit par un Hongrois et notamment repris par Billie Hollyday.