Dans la chaleur de l’ardente
après-midi de juillet,
après-midi de juillet,
la salle, aux volets soigneusement clos,
était pleine d'un grand calme.
Il ne venait, des trois fenêtres, que de minces flèches de lumière,
par les fentes des vieilles boiseries ;
par les fentes des vieilles boiseries ;
et c'était, au milieu de l'ombre, une clarté très douce, baignant les objets
d'une lueur diffuse et tendre.
d'une lueur diffuse et tendre.
Il faisait là relativement frais,
dans l'écrasement torride
qu'on sentait au dehors,
qu'on sentait au dehors,
sous le coup de soleil
qui incendiait la façade.
Émile Zola
écrivain français
1840-1902
extrait, Le docteur Pascal