La bière rend heureux…
Article publié le 19 avril sur Atlantico
« Des chercheurs
américains ont révélé que la bière, même consommée à petite dose, apporterait
au cerveau une importante quantité de dopamine, l'hormone du bien-être. Oui
mais elle a aussi d'autres avantages.
L'histoire de la bière est
riche. Ces dernières années, des études scientifiques sérieuses lui ont
attribué toutes sortes de vertus. En voici quelques unes :
L'ostéoporose
Alors que l'apparition de la
ménopause est souvent suivie par celle de l'ostéoporose, des chercheurs de l'université
de Cambridge, aux États-Unis, ont démontré en 2011 que la bière favoriserait la
formation des os. D'après leurs résultats, les femmes – à partir d'un certain
âge – auraient la possibilité de se préserver de l'ostéoporose et ce,
simplement en buvant une pinte de bière (50cl) par jour.
Des conclusions pour le moins
surprenantes qui sont pourtant basées sur de véritables recherches. Pour
effectuer leurs travaux, les chercheurs sont en effet partis de précédentes
études qui ont mis en évidence le lien qui existe entre le taux de silicone
fourni au corps d'une personne par son alimentation et sa densité minérale
osseuse. Et alors que la bière est riche en silicone - un composé dont le rôle
est très important dans la formation du système osseux – les scientifiques ont
ensuite entrepris de s'intéresser à l'impact de la consommation de bière sur
les os des femmes.
Bière = bedaine
Non. Alors qu'il est courant
de justifier un ventre bien rebondi par une grande consommation de bière, une
étude suédoise publiée en 2012 dans l'European Journal of Clinical
Nutrition révèle que cette boisson n'a rien à voir avec l'apparition d'une
bedaine. Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs de l'université
de Göteborg se sont rendus en Allemagne, un pays notamment réputé pour sa
grande variété de bières. Equipés d'un mètre et d'un pèse-personne, les
scientifiques ont ensuite étudié le lien de cause à effet entre la consommation
de bière et le tour de taille. Quelque 20 000 sujets volontaires (hommes et
femmes) se sont ainsi prêtés à cette expérience. Après avoir pris les mesures
de leur taille et de leur tour de hanches, les chercheurs ont pesé les
volontaires et leur ont posé une série de questions portant sur leur
consommation de bière. A l'issue de ce questionnaire, les participants ont été
séparés en différents groupes et ce, en fonction de la catégorie de buveur à
laquelle ils appartiennent (abstinent, modéré, gros buveurs, …). Forts de
cette expérience, les scientifiques se sont ensuite aperçus que la bière rendait,
certes, certains sujets bedonnants mais qu'il était toutefois injuste de l'en
rendre responsable à chaque fois.»
Dommage je n'aime pas la bière...peut-être devrais-je m'y mettre!
RépondreSupprimerBonne journée
Bonjour Puce,
RépondreSupprimerRien ne t'y oblige... À moins que tu sois très très
malheureuse, ce dont je me permets de douter...
Mais, blague à part, on fait au Québec d'excellentes bières artisanales
qui méritent qu'on y goûte, histoire de vérifier l'hypothèse des chercheurs...!
Je serais tenter désormais à goûter et essayer....
RépondreSupprimerSeulement depuis quelques années que je commence à aimer la bière et encore pas celle d'odeur de mouffette....
Donc même si toute ma vie je n'ai pas aimer...
Maintenant j'aime...moins alcoolisée que le vin aussi...
Donc petit drink allégé parfois...
L'été j'adore mon ''Twist Shandy maison''
Moitié bière-7Up avec plein de glace dans un pichet et dégustez....
Re-allô Jo,
RépondreSupprimerSi tu ne connais pas encore la bière à l'abricot,
fabriquée au Québec (St-Ambroise), tu devrais
l'essayer. Tout à fait dans nos palettes de goût...
Bons deux jours!