Ce blogue s'adresse à tous, il se veut rassembleur, ouvert sur le monde, sur ses beautés et ses réalités. Ses champs d'intérêt: nature, photographie, politique, sujets d'actualité, chroniques venues d'ailleurs, billets d'humeur et d’humour. Mais depuis le 24 février 2022, il s’intéresse quotidiennement à ce qui se vit en Ukraine, une guerre qui bouscule profondément le peuple ukrainien et l’humanité entière.
mercredi 29 juin 2016
Dans le courant profond
2 commentaires:
Pour vous aider à publier votre commentaire, voici la marche à suivre :
1) Ecrivez votre texte dans le formulaire de saisie ci-dessus
2) Si vous avez un compte, vous pouvez vous identifier dans la liste déroulante Commentaire
Sinon, vous pouvez saisir votre nom ou pseudo par Nom/URL
3) Vous pouvez, en cliquant sur le lien S'abonner par e-mail, être assuré d'être avisé en cas d'une réponse
4) Cliquer sur Publier enfin.
Le message sera publié après modération.
Voilà : c'est fait.
Et un gros MERCI !!!!
Oui il est vrai que l'on y revient souvent...
RépondreSupprimerEt même que idéalement ont '' devrait'' y revenir plus souvent aussi...
Car c'est ce que l'on est vraiment...car on a tendance à oublier ...
Car la vie nous amène ailleurs...et c'est aussi correct...quoique parfois...
Cela pourrait être nécessaire de retrouver nos sources...
Tel que l'on était avant que la vie nous façonne, nous éduque, nous change...
Et en revenant à notre enfance et être capable de '' nous'' ressentir enfant..
Souvent dans certaines sessions personnelles, ils nous demandent d'avoir cette capacité là, d'être capable de se revoir enfant car ''on était vraiment nous'' avant que la vie se charge de nous...
Tel que l'éducation, les amis, l'école, le travail, la famille et le quotidien....tout ceci a influencer notre '' soi'' et avoir cette capacité de revenir enfant est de '' se'' retrouver....Mais encore là, parfois c'est ardu...car c'est souvent rendu loin...parfois trop...mais il reste toujours un petit quelque chose de nous...
Bonjour Jo,
SupprimerComme tu dis, tout dépend de ce que nous avons fait de notre vie. peut-être avons-nous choisi de nous éloigner de notre enfance ou en avons eu l'obligation. Toutefois, en avançant en âge, on s’aperçoit que l’enfant est toujours là et qu’il est demeuré presque intact, habité par une même curiosité et un même émerveillement. Comme le dit le poète Bobin, «on revient chez soi après beaucoup d’absence».