Au quatrième mois de la guerre en Ukraine, Moscou appuie là où cela fait mal et joue de la vulnérabilité énergétique des Européens, dont 40 % du gaz qu’ils brûlent vient habituellement de Russie. Ces proportions étaient encore plus fortes dans l’Est : 55 % pour l’Allemagne, ou 85 % en Bulgarie.
Le gaz ne manque pas pour l’instant pour la plupart des Européens, en période estivale, car il n’y a pas besoin de chauffer les bâtiments. Mais les réductions interviennent alors que les pays doivent profiter de l’été pour remplir leurs réserves, avec un objectif d’au moins 80 % d’ici novembre dans l’Union européenne.
Yvan Couronne et Mathilde Dumazet
Agence France-Presse
Le Devoir, 17 juin 2022
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