La joie est pareille
à un fleuve;
rien n’arrête son cours.
Henry Miller
romancier et essayiste états-unien
1891-1980
jeudi 9 novembre 2017
2 commentaires:
Pour vous aider à publier votre commentaire, voici la marche à suivre :
1) Ecrivez votre texte dans le formulaire de saisie ci-dessus
2) Si vous avez un compte, vous pouvez vous identifier dans la liste déroulante Commentaire
Sinon, vous pouvez saisir votre nom ou pseudo par Nom/URL
3) Vous pouvez, en cliquant sur le lien S'abonner par e-mail, être assuré d'être avisé en cas d'une réponse
4) Cliquer sur Publier enfin.
Le message sera publié après modération.
Voilà : c'est fait.
Et un gros MERCI !!!!
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Bien vrai...sauf que parfois son cours est s'entrave par quelque chose...
RépondreSupprimerAlors cette joie diminue voir s'arrêtée...
Mais là, est vrai que son cours continue et sa force vient à regagner cette joie...
Et heureusement...
Bonjour Jo,
SupprimerJe pense que la joie profonde, celle qui consiste à considérer la vie comme la plus grande
des richesses, ne peut être altérée. Comme le fleuve, elle poursuit son cours sans
rencontrer d'obstacles qui risqueraient de la détourner de son cours: elle est inaltérable.