« Le bonheur est une telle ivresse,
une telle violence qu’il emporte tout.
Les pudeurs. Les peurs.
Il peut être si douloureux,
il peut faire vaciller, anéantir.
Exactement comme le malheur.
Mais on ne le dit jamais de crainte
que le monde se méfie du bonheur.
Parce que alors tout s’écroulerait.
Parce que nous deviendrions tous des fauves
qui se dévoreraient les uns les autres. »
Grégoire Delacourt
publicitaire et écrivain français
né en 1960
extrait du bouleversant roman
On ne voyait que le bonheur
Oh! Cela est songé...et pourtant vrai...mais ont ne s'y arrête pas à y penser, car ont est trop occupé à le vivre et pourtant...
RépondreSupprimerBonjour Jo,
SupprimerOui, trop occupé à vivre le bonheur.
Mais il est vrai que la fébrilité qu’on lui accorde
est difficile à cerner, entre le rire et les larmes.
La passion, par définition, est douloureuse et, pourtant,
on aspire à en ressentir l’intensité.
Les êtres humains sont bien compliqués, conclut le
chat Messidor...!
L'être humain est une machine très compliqué en effet. Lorsqu'il est malheureux
RépondreSupprimeril veut le bonheur et lorsqu'il est heureux, il ne s'est souvent pas quoi en faire.
Allô Puce,
SupprimerPeut-être parce qu’il en veut toujours davantage,
qu’il ne sait pas s’arrêter à ce qu’il a déjà.
À méditer...
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