« Je suis restée
couchée dans la prairie jusqu’à ce
que la sérénité le
plus lisse ait pénétré mes os,
jusqu’à ce que je ne
fasse plus qu’un avec la nappe de verdure,
la course des nuages,
l’envol des oiseaux. »
Alice James
dimanche 4 mai 2014
5 commentaires:
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bon matin Rachel,
RépondreSupprimera lire se poème,je me demande si est pas morte dans un champs, elle est en décomposition hihih
bon dimanche a vous trois
Bonjour Réjean,
SupprimerTu as raison, l'auteure est une poétesse américaine morte il y a plus d'un siècle.
Mais ce qui est bien, c'est que ses écrits sont restés, ce qui la garde bien vivante pour
ceux qui ont le bonheur de la lire.
Encore une fois, je pratique l'ironie,
car je ne me vois pas m'allonger dans un champ en ce moment
pour contempler le vol des oiseaux.
Vaut mieux rester derrière la fenêtre...
Bon dimanche sous les nuages !
d
RépondreSupprimerBonjour Messidor, coucou Rejj
RépondreSupprimerCette poétesse de devait sûrement pas connaître des printemps pluvieux et au sol détrempé
comme celui de cette année sinon elle aurait sûrement choisi un autre endroit pour regarder
les oiseaux.
Ici les oies blanches sont arrivées par millier, normalement c'est signe de l'arrivée du printemps...
Bonjour Puce,
RépondreSupprimerEh non, il n'est pas recommandé de s'allonger dans l'herbe aujourd'hui.
Mais comme tu l'écris, les oies et les bernaches arrivent enfin en grand
nombre. Le temps chaud et le soleil devraient suivre, on se le souhaite!