« Faute de grives, on mange des merles. »
Proverbe français
Le merle d’Amérique
Il fut pendant
des décennies mon réveille-matin le plus régulier : fidèle, ponctuel,
insistant. Au point où je me serais volontiers passée de lui les jours de
congé. Mais il reste pour moi le signe le plus fiable de l’arrivée du
printemps.
Quelques extraits de Wikipédia le présentent ainsi : « Sa coloration est proche de celle du rouge-gorge, plus petit mais non apparenté, et souvent les gens confondent les deux espèces. Comme c'est le cas avec les oiseaux migrateurs, les mâles reviennent aux zones reproductives estivales avant les femelles et se font concurrence pour les lieux de nidification. Les femelles peuvent choisir les mâles sur le critère de leur chant. Les femelles construisent leur nid et pondent trois ou quatre œufs bleu pâle. Lorsque les petits quittent le nid, c'est un à la fois et c'est pour ne plus revenir. Quelques tentatives de retour peuvent être observées mais elles sont très rares. Il n'est pas impossible que l'imprécision des premières envolées mènent l'oisillon dans des secteurs hasardeux. »
Pour en savoir
davantage :
« Je suis naturellement poltron et imprévoyant.
C’est ce qui fait dire à mon précepteur que j’ai le caractère d’un merle.
Je ne crois au danger que quand je le touche
et je l’oublie dès qu’il est passé.»
George Sand
bon Lundi Rachel et les habituer, oui un ti fatiguant du matin qui bien agréable a entendre
RépondreSupprimerbonne journée a vous trois
Bonjour Réjean,
SupprimerOui, tu as bien raison, je n'aurais pas osé l'écrire,
mais sa chanson est parfois bien monotone.
Une belle journée avec tes deux douces !
Bonjour Messidor, coucou aux habitués
RépondreSupprimerVous dites une chanson parfois monotone, mais oh! combien douce à nos oreilles, comparativement aux bruits
de Montréal et ses banlieues.
Bonjour Puce,
SupprimerBien d'accord, le chant du merle vaut bien des grincements de pneus, et même de quelques cordes
à linge.