samedi 26 janvier 2013

L'amour du froid

Je me posais hier la question suivante : est-ce qu'il existe des gens qui aiment le froid. Je connais passablement de gens qui apprécient l'hiver et la neige, mais le froid, non, pas avant hier. Eh bien, c'est encore grâce à Google,  et à mon goûteur qui a cherché sur le Net, que j'ai trouvé cette perle rare.

Voici son texte que vous apprécierez certainement, publié sur un blogue qui est pour moi une rafraîchissante découverte.


J'aime avoir froid...



Je suis pyrénéenne. Cet état de fait devrait déjà se suffire à lui même, mais il faut y ajouter certains paramètres non négligeables :

- Je suis née au tout début années 5O.

- J'ai grandi dans une maison d'une quarantaine de pièces, ancien hôtel construit autour d'un parc reconverti en appartements, que mes grands-mères louaient aux curistes de juin à octobre. Au fond du parc, une villa que nous occupions à l'année. ( Il arrivait aussi qu'elle soit louée en été selon les circonstances, et nous déménagions alors dans un autre appartement, mais c'est une autre histoire...).

En ces années là, il n'y avait point de chauffage central. Il y avait des poêles à bois ou a charbon et des cheminées dans chaque pièces.

...Et va chauffer, avec un petit poêle à charbon une villa de trois étages et 12 pièces !
L'hiver, nous abandonnions la salle à manger  et le salon de 60 m2 pour nous réfugier dans le hall qui se transformait alors en salle à manger, et nous vivions collées au poêle. Quand il faisait 14°...ou 15 °, c'était Byzance ! La cuisine et la salle de bain étaient chauffées, elles, par un petit poêle à pétrole rond très efficace.

Le long tuyau du poêle du hall, qui montait tout droit le long de la cage d'escalier, était censé, lui, " tempérer " le reste des étages où se trouvaient les chambres. L'isolation étant ce qu'elle était à l'époque, c'est à dire nulle, la température avoisinnait celle de l'extérieur, aidée en cela par les grandes portes fenêtres qui donnaient sur le balcon. En vitrage simple, bien sûr, et mal jointées...le bois travaille !

 Nous occupions les chambres du premier étage, les autres étant réservées à la famille à Noël et à Pâques. Vides ou occupées, elles n'ont jamais été chauffées.

La première chambre, près du tuyau, était celle de mon arrière grand-mère ( 80 ans quand je suis née, j'avais 15 ans à son décès ). La plus chaude ! Suivait celle de ma grand-mère, et la mienne au fond du couloir dont les vitres se transformaient, à mon grand émerveillement, en glace miroitante pendant les deux mois glaciaux de l'hiver.
C'est dans cette chambre, ma chambre d'enfant et d'ado, que ma perversion du froid est née... J'en gardais la porte soigneusement fermée de crainte qu'un soupçon de chaleur ne vienne sournoisement  s'y installer . Et le soir, quand ma grand-mère venait religieusement avec le " moine " ( un arc double en bois muni d'une lampe 100 watts pour me réchauffer le lit ), j'attendais qu'elle soit partie et me croit couchée pour ouvrir grand le lit et la porte fenêtre afin reglacer le tout avant de me coucher...
Et là, c'était la jouissance suprême ! Grelottante, j'attendais de retrouver une tiédeur bienfaisante diffusée par mon corps aux draps quasi gelés.

Cette perversion ne m'a jamais quittée. Soixante ans après, j'ouvre toujours mon lit et ma fenêtre avant de me coucher. Enfin...ma fenêtre est déjà ouverte. Et réchauffer mon lit est toujours un moment d'intense bonheur !

Non, je n'ai jamais été malade enfant. Jamais.

Voir le blogue captivant de cette ardente complice du froid:


Cuisiner les moules


Une suggestion de repas que vous n'apprécierez que si vous aimez les moules et le goût du piment, car celles-ci ont été cuisinées à la mexicaine, avec tequila, piment, ail, lime et coriandre. De quoi réchauffer le corps et le coeur.

Voir la recette dans le blogue La cuisine de Messidor.
http://lacuisinedemessidor.blogspot.ca/

vendredi 25 janvier 2013

Qui donc aime le froid ?

Un visiteur courageux

Le fleuve glacé près de ses rives

Bien plus une chronique qu'un éditorial et qui pose une question à laquelle j'aimerais bien trouver une réponse. Connaissez-vous des gens qui apprécient le froid ?


Un éditorial signé Mario Roy publié dans La Presse, le 25 janvier 2012

La froidure

Froidure. C'est le genre de mot que l'on soupçonne toujours d'avoir été inventé par Gilles Vigneault! Mais non. Apparemment, on l'employait déjà au XIIe siècle, preuve qu'au moins une partie de l'humanité grelottait à cette époque autant que nous, aujourd'hui.

Si on remonte plus loin encore, on remarquera que la première conquête technologique de l'Homo sapiens fut la maîtrise du feu. Ingénieux. Car, avec deux ou trois espèces de prédateurs et quelques virus assortis, le froid était l'un des pires ennemis de l'homme de la préhistoire.
Le froid tue, en effet.

Évidemment, c'est moins courant de nos jours - bien qu'un itinérant en soit mort, lundi, à Toronto: cela arrive chaque année malgré les précautions. Sinon, le froid se contente de causer de gros désagréments et d'engloutir des ressources considérables, autant celles des familles que celles des gouvernements.

***
Sur ce dernier point, on n'est jamais arrivé à calculer de façon irréfutable le coût d'un hiver québécois. Les estimations se situent en général quelque part entre 10 et 20 milliards de dollars.

Or, la plus grande partie ne va pas au déneigement (plus ou moins un milliard), mais à la lutte contre le froid. Le chauffage lui-même (mercredi et hier, la consommation d'électricité a frôlé des pointes de 40 000 mégawatts, un record). L'isolation des immeubles. Les vêtements de saison. Les dégâts causés aux infrastructures tout comme à la santé. Et c'est une bien mince consolation d'apprendre que l'actuelle vague de froid, inédite depuis 2005, serait causée par le... réchauffement de la stratosphère!

Cependant, le pire ne peut être traduit en chiffres.
Chacun aime ou pas l'hiver. Et, chez les seconds, un chaud débat oppose les anti-neige aux anti-froid: qu'est-ce qui est le plus exaspérant? Or, à notre humble avis, la cause est entendue. Si on peut trouver des vertus à la neige (la beauté, l'apaisement qu'elle inspire, les jeux et sports qu'elle permet), il est difficile d'attribuer la moindre qualité au froid. Et ce, dès l'instant où le mercure chute de plus de quelques degrés sous le point de congélation.

Le chauffage de fortune déclenche l'incendie. L'eau gèle dans les tuyaux, y compris ceux de la ville, jusqu'à éclatement. La glace noire mène l'automobiliste au carambolage et le piéton à la fracture de la hanche. L'engelure menace les extrémités. Les poumons se révoltent contre l'humidité surgelée qui leur est offerte...
Résultat: la haine pure. «Nous chantons un pays que nous détestons six mois par année!» écrivait en 1999 le regretté Bernard Arcand dans Abolissons l'hiver. Le fait est que les chantres de l'hiver excellent dans les élans poétiques célébrant la neige - manteau immaculé, cristaux étincelants, carriole, bonhomme et tout le folklore.
Mais peu d'entre eux parviennent à assembler ne serait-ce qu'un seul alexandrin à la gloire du froid!

Un salut à la lune



La lune est là ce matin, elle nous regarde de son œil unique.
Un poème de Goethe pour célébrer sa présence.

Nuit de lune

De tes clartés tu remplis
Vallon, bois et plaine,
Et mon âme, au sein des nuits,
Redevient sereine.
Astre pur, dans mon tourment,
Ta flamme adoucie,
Me semble un regard aimant
Penché sur ma vie.

Cuisiner le veau en cubes


Voici une suggestion réconfortante pour oublier les grands froids, une manière facile et succulente de mettre le veau sur votre table, un mijoté à l'italienne appelé aussi veau marengo. 

La recette dans mon autre blogue, La cuisine de Messidor.
http://lacuisinedemessidor.blogspot.ca/

jeudi 24 janvier 2013

Cuisiner un fish and chips santé


J'ai cuisiné hier un poisson blanc à chair fondante recouvert d'une chapelure fine et croustillante que j'ai accompagné de frites santé, un repas qu'aime bien mon goûteur.

La recette se trouve dans La cuisine de Messidor


Bonne journée gourmande !

mercredi 23 janvier 2013

Les joies du gardiennage


Ça nous faisait plaisir de dépanner nos jeunes voisins en allant garder chez eux. Quelques semaines plus tôt, notre première expérience en tant que grands-parents d’occasion s’était bien déroulée. Ce ne fut pas le cas hier.

Moins d’une heure après le départ de sa maman, sans aucune raison apparente, la fillette de 19 mois s’est mise à pleurer. Tous nos efforts pour la distraire sont restés vains. Ses jouets ne l’intéressaient plus, elle n’avait pas faim, la centaine de livres et de peluches dispersés dans la pièce la laissaient indifférente. Même la surprise que nous avait suggérée sa maman, une ravissante poupée gigogne, ne l’a pas captivée plus de cinq minutes. Pire, chaque effort de notre part pour la rassurer semblait l’exaspérer davantage. Elle pleurait avec une sorte de rage, se déplaçait dans la pièce en hurlant, tapait du pied, de plus en plus hystérique.

La crise a duré presque deux heures. C’est long, deux heures, à entendre hurler une enfant en essayant de comprendre ce qu’elle veut dire. J’ai observé le chat de la maison qui dormait paisiblement sur le lit, complètement sourd à la colère de la petite. Ce n’est sûrement pas la première fois, ai-je dit à mon goûteur. La maman nous l’a confirmé à son retour, elle était elle aussi la victime impuissante des accès de rage de sa fille.

Je ne te ferai jamais d’enfant, m’a dit mon amoureux de 66 ans en retrouvant le silence de notre maison. Je n’ai rien répliqué, mais je l’admets, j’ai poussé un grand soupir de soulagement.

Cuisiner le saumon


Une autre manière de déguster le saumon, ce poisson délicieux fréquemment en promotion dans nos grandes chaînes d'alimentation. Le voici glacé d'une sauce miel, moutarde et gingembre, une exquise harmonie de saveurs. La recette dans La cuisine de Messidor: 




mardi 22 janvier 2013

La chronique de Pierre Foglia (4)




Chronique de Pierre Foglia publiée dans La Presse du 22 janvier 2013

Un autre meurtre

Hugo Houle, 23 ans, de Sainte-Perpétue, est un de ces jeunes coureurs cyclistes québécois formidablement prometteurs. Quatrième aux derniers championnats du monde des moins de 23 ans, deuxième du Tour de Beauce, un top 10 dans une étape du Tour de Californie, il courait l'an dernier pour feu l'équipe canadienne SpiderTech, il a été accueilli cette année par AG2R. Mais ce n'est pas une histoire de vélo que je veux vous raconter, c'est une histoire de frères. Hugo a un jeune frère, Pierrik, 19 ans, en techniques policières au cégep de Trois-Rivières.

Le 21 décembre dernier, Hugo, qui est en stage avec son équipe à Oliva, en Espagne, revient passer les Fêtes au Québec. Son père l'attend à l'aéroport pour le ramener à Sainte-Perpétue, où ils arrivent à la fin de l'après-midi. Hugo, sur le décalage horaire, va se coucher et se réveille dans la soirée.

Où est Pierrik?
Il est parti courir, lui répond sa mère, il devrait être rentré, d'ailleurs. Mais Pierrik ne rentre pas. Peut-être s'est-il arrêté chez un ami? Hugo ne le joint nulle part. Son père, puis sa mère partent à sa recherche. C'est finalement un ami qui le trouvera sur le bas-côté du rang Saint-Joseph, en plein milieu du village. De toute évidence, il a été happé par une voiture qui a pris la fuite.

Hugo est sur les lieux, évidemment. Un peu à l'écart de l'attroupement qui s'est formé, il remarque un camion qui vient de se garer. Il remarque surtout le chauffeur, hésitant, immobile au pied de son camion. Hugo le rejoint.
Qu'est-ce que vous cherchez?
L'homme ne répond pas. À quelle heure est-ce arrivé? demande-t-il. Puis: comment il va?
C'est vous qui l'avez frappé, n'est-ce pas? dit alors Hugo.

C'était lui. Un homme de 41 ans d'un village voisin. Après l'accident, il s'est enfui, il est allé changer de véhicule, pour finalement revenir sur les lieux. Il est accusé de délit de fuite et de conduite avec les facultés affaiblies causant la mort.
Dimanche, malgré le mauvais temps, quelques centaines de personnes ont pris part à une course organisée à la mémoire de Pierrik dans le village de Sainte-Perpétue. Ils ont précisément fait la boucle de 4 km que le jeune homme faisait souvent. «On va le finir, ton jogging, mon chum», a lancé un de ses amis. Hugo invitait les gens présents non seulement à ne pas prendre le volant après avoir consommé de l'alcool, mais aussi à empêcher ceux qui s'apprêtent à le faire. «On pense que ça arrive juste aux autres... Voyez, aujourd'hui, c'est mon frère.»
Il repart jeudi pour l'Europe, où il courra les classiques du Printemps.

***
Il y a un an, je signais une douloureuse série sur les accidents, des histoires d'abrutis complètement saouls au volant et de petits débiles qui roulent à 180. J'ai drôlement bien fait de ne pas m'imaginer que cette série allait changer des choses, il ne s'est pas passé une seule semaine depuis sans que l'actualité me rappelle qu'on n'écrit justement pas pour changer les choses, seulement pour les nommer, ce qui est déjà bien.
Juste pour mémoire, trois grosses histoires durant le temps des Fêtes. Outre Pierrik à Sainte-Perpétue, délit de fuite à Sherbrooke, deux jeunes femmes, 19 et 20 ans, fauchées par un connard en état d'ébriété, l'une a été tuée, l'autre sérieusement blessée. À Terrebonne, une femme qui marchait dans la piste cyclable a été happée et tuée par un type aussi en état d'ébriété, dont le permis était suspendu pour... conduite en état d'ébriété.
On a tort d'appeler cela des accidents. Les accidents sont fortuits, il n'y a absolument rien de fortuit dans le fait de prendre le volant complètement paqueté et de tuer quelqu'un. Ce n'est pas un accident. C'est un meurtre.
GARNEAU - Deux mots d'adieu, Richard, juste deux, nous n'avons jamais été très proches et, en plus, ça tombe mal, on se laisse sur une demi-fâcherie qui dure depuis l'automne dernier.
Tu te souviens des Jeux d'Innsbruck? Peut-être pas, tu en as tant couvert, de ces Jeux. Nous logions au même hôtel, à ton invitation je me suis retrouvé quelques fois à la table de Radio-Canada pour le souper. Sachant que je n'y connaissais rien, tu me faisais aimablement la leçon de ski pour les épreuves du lendemain. Le ski était une de tes grandes passions, avec l'athlétisme. Je t'ai d'ailleurs déjà traité de meilleur commentateur francophone d'athlétisme. Admets-le, je n'ai pas été que malveillant.
C'était l'époque des «grandes voix» qui m'énervaient tant à Radio-Canada. Cela revient beaucoup, d'ailleurs, dans les adieux qu'on te fait aujourd'hui: quelle voix extraordinaire tu étais et quelle langue tu parlais. Rappelle-toi toutes ces fois où, dans ma chronique, je t'ai félicité exactement du contraire: d'être beaucoup plus qu'une voix, en athlétisme notamment. Je réitère.
La soudaineté de ta mort me fait freaker sur la mienne, bien sûr. Tu n'étais même pas malade et puis voilà... Comment ça, on peut mourir même quand on n'est pas malade? D'un autre côté, après avoir entendu l'hommage que Marcel Aubut t'a rendu hier matin, je me suis dit qu'au moins, cela me sera épargné. On se console comme on peut. Salut, mon vieux.

Cuisiner un délicieux dîner sans viande


Qui a dit que les repas sans viande doivent être fades et tristes ? Si vous désirez oublier les rigueurs de l'hiver, mettez du piment et du soleil dans votre assiette. Et rendez-vous dans La cuisine de Messidor. http://lacuisinedemessidor.blogspot.ca/


lundi 21 janvier 2013

Cuisiner des raviolis maison


Pour que les restes de plats en sauce puissent jouir d'une seconde vie, il suffit parfois de leur ajouter de nouvelles saveurs. Dans le cas de ce poulet indien, des jeunes feuilles d'épinard et un peu de lait de coco ont fait merveille. Mais ce sont les raviolis aux champignons qui lui ont volé la vedette. 
La recette est consignée dans le blogue La cuisine de Messidor : http://lacuisinedemessidor.blogspot.ca/


dimanche 20 janvier 2013

Cuisiner le magret de canard


Le petit festin du samedi soir avait les couleurs de l'Asie hier, cinq-épices chinoises, jus de clémentine, sauce tamari et hoisin au miel parfumaient une marinade qui a aussi servi de sauce à un magret de canard tendre comme les joues d'un bébé.
Vous pouvez voir la recette consignée dans le blogue La cuisine de Messidor à l'adresse suivante:



Le thé est aussi bon pour le coeur

Publié sur le site de Radio-Canada, le 18 janvier 2013



Boire du thé vert ou noir quotidiennement a un effet protecteur contre les maladies cardiovasculaires, confirment des chercheurs français. La raison? La forte teneur en flavonoïdes de la boisson.
La Pre Anne-Marie Roussel et ses collègues de l'Université Joseph Fourier à Grenoble estiment qu'il faut trois tasses par jour pour que la consommation de la boisson soit efficace.
La chercheuse française affirme que c'est l'effet vasodilatateur qui est au coeur de la protection cardiovasculaire. La Pre Roussel explique qu'il a maintenant été mesuré en clinique.
Des bienfaits ont aussi été remarqués sur le métabolisme de l'endothélium, le tissu qui forme le revêtement interne des vaisseaux sanguins.
Un dysfonctionnement de la fonction endothéliale est la première étape d'un processus pouvant mener à un accident cardiovasculaire.
D'autres travaux avaient déjà montré cet effet positif. Ces résultats français les confirment.
« Pour les fruits, les légumes et le poisson, les effets sont faibles, l'amélioration est plus significative pour le cacao ou le vin, mais c'est le thé qui entraîne l'amélioration la plus importante. » —  Pr Eric Bruckert, Hôpital de la Pitié-Salpêtrière
Les bienfaits du thé s'accumulent et se confirment depuis quelques années. D'autres études ont montré que sa consommation réduisait les risques de développer certains cancers et certaines maladies neurodégénératives comme l'alzheimer.
D'autres recherches ont aussi montré que le thé jouerait un rôle dans la prévention du diabète et de l'obésité. Il réduirait le taux de cholestérol et de triglycérides (un autre type de lipide) dans le sang et agirait sur la résistance à l'insuline.
Le saviez-vous? L'ajout de sucre ou de lait dans le thé efface ou diminue fortement son effet bénéfique.