samedi 12 octobre 2013

La Terre vue du ciel




La Terre, 15 oeuvres d'art vues de l'espace
Article publié dans La Presse  le 11 octobre 2013 à 09h55 | 


Le lac à l'Eau claire du Nord-du-Québec, la ruralité de l'État de Washington ou encore le fleuve Okavango séparant la Namibie de l'Angola. Le site de l'Agence spatiale européenne regorge de clichés de la Terre pris de l'espace qui dévoilent toute la majesté de la Planète bleue. Le portail web du Nouvel Observateur nous offre ici une sélection de 15 photos, où les Envisat, Kompsat-2 et autres satellites-photographes en orbite autour de la Terre démontrent qu'ils n'ont rien à envier aux Michel-Ange et Picasso de ce monde.

vendredi 11 octobre 2013

Artiste de la poussière




« Nous autres, sur notre petit tas de boue,
nous ne concevons rien au-delà de nos usages. »
Voltaire

Il transforme la poussière sur les voitures en œuvres d’art

Article signé Fabien Deglise publié dans Le Devoir, le 10 octobre 2013

Faire rimer saleté avec créativité.
À Bakou, en Azerbaïdjan, Rafael Veyisov, gardien de stationnement, a visiblement trouvé la solution pour briser avec intelligence et esthétisme la monotonie de son emploi: il produit des oeuvres d'art éphémères dans la poussière déposée sur les carrosseries des véhicules dont il doit assurer la surveillance. Pas fou, comme dirait l'autre.

C'est le magazine en ligne Oddity Central qui vient de lever le voile sur cet artiste atypique dans un terrain d'expression improbable et qui, de toute évidence, ne déplait pas aux gens du coin.  Plusieurs  de ses clients, dit-on, se forcent désormais pour laisser entre ses mains des bagnoles très poussiéreuses histoire de repartir le soir avec une ville, un paysage ou une abstraction incrustée dans la crasse.

Un reportage en azéri, posé il y a quelques jours sur le réseau de partage YouTube permet de prendre toute la mesure de cette démarche qui, à une autre époque — celle où l'univers numérique n'était qu'abstraction — n'aurait pas eu le bonheur de sortir si vite des frontières de ce drôle de pays du Caucase...



jeudi 10 octobre 2013

Le sourire du jeudi





« Ne demandez jamais la lune. Elle pourrait vous être donnée.

Et alors, qu'en feriez-vous ? » 


Jean Chalon 

mercredi 9 octobre 2013

Bonheur de lecture




« Un enfant qui s'ennuie n'est pas très loin du paradis : 
il est au bord de comprendre qu'aucune activité, même celle, 
lumineuse, du jeu, ne vaut qu'on y consacre toute son âme. 
L'ennui flaire un gibier angélique dans le buisson du temps : 
il y a peut-être autre chose à faire dans cette vie que de s'y éparpiller en actions, s'y pavaner en paroles ou s'y trémousser en danses. 
La regarder, simplement.»

Christian Bobin,
Prisonnier du berceau 

mardi 8 octobre 2013

La pensée du mardi





« Je travaille à être plus heureux : 
c’est le plus beau des métiers.»

Roland de Lassus

lundi 7 octobre 2013

On parle de nous en France...




Les cimetières québécois recherchent de nouveaux morts

Article signé Nicolas Guégan
publié dans le site français du magazine Le Point, le 7 octobre 2013


«Face au boom de la crémation, les cimetières catholiques québécois connaissent la crise. Une situation jugée critique par les spécialistes du secteur. Appel aux dons, pages de publicité dans la presse locale, offres promotionnelles... Les cimetières catholiques québécois ne savent plus comment faire pour attirer de nouvelles ouailles. En deux ans, le taux d'inhumations a chuté de 4 %, voire de 30 % dans les plus petits cimetières. Résultat, faute de moyens, les cimetières québécois sont de moins en moins bien entretenus. D'autres sont tout bonnement abandonnés. Une situation qui commence à inquiéter sérieusement nos cousins de la Belle Province.

Face à cette crise inédite, le cimetière de Saint-Eustache, à moins d'une demi-heure de Montréal, a opté pour des encarts publicitaires. "Mais c'est difficile d'expliquer dans une pub les avantages de venir chez nous", précise le responsable du lieu à La Presse, un journal québécois.
Du jamais-vu pour ce cimetière qui n'avait presque plus une concession de libre voilà quelques années. Ce désintérêt pour la mise en bière s'explique en partie par la baisse de la pratique religieuse. "L'Église catholique ne s'est pas adaptée à la nouvelle réalité. Elle rebute un peu la clientèle", estime Alain Leclerc, directeur général de la Fédération des coopératives funéraires.

Au Québec, 50 % des morts sont incinérés
L'autre cause, et non des moindres, est le boom de la crémation. Plus de 50 % des morts sont incinérés au Québec. Un regain d'intérêt qui trouve son explication par le faible coût de la crémation et le flou juridique qui l'entoure. "Les gens font tout et n'importe quoi avec les cendres. Ils les emportent chez eux, les laissent à la maison funéraire, les jettent dans les rivières", témoigne, effarée, la vice-présidente de l'Association des cimetières catholiques du Québec. Puisqu'aucune loi n'encadre la dispersion des cendres, une majorité de Québécois jugent "trop cher de payer 200 dollars pour faire creuser un trou", lâche un spécialiste du secteur à La Presse. Ce qui fait dire aux adeptes de l'inhumation : "Les cimetières vivent avec les défunts. S'il n'y a pas de défunts, c'est sûr que ça décline." Le message est clair : les cimetières québécois recherchent des morts pour survivre.»

dimanche 6 octobre 2013

Le bonheur du dimanche




« Le bonheur est une récompense qui vient 
à ceux qui ne l'ont pas cherchée. »

Alain