samedi 26 octobre 2013

Le sourire du samedi




« Même le plus petit travail doit d'abord
commencer par une grande pause.»

Proverbe russe

vendredi 25 octobre 2013

Le proverbe du jour




« Quand tu te lèves le matin, remercie pour la lumière du jour, pour ta vie et ta force. 
Remercie pour la nourriture et le bonheur de vivre. 
Si tu ne vois pas de raison de remercier, la faute repose en toi-même. »

Proverbe amérindien

jeudi 24 octobre 2013

Le sourire du jeudi


Faire des mots croisés peut-il ralentir les effets négatifs du vieillissement ?


*

Les mots croisés ne garantissent rien
Article publié le 22 octobre 2013 publié sur le site de Radio-Canada

Les aînés qui font des mots croisés ou qui écoutent de la musique classique pour protéger leurs habiletés cognitives devront peut-être se trouver un nouveau passe-temps.

Une étude réalisée par des chercheurs de l'Université du Texas démontre que seulement certaines activités particulièrement exigeantes, comme l'apprentissage de la photographie, sont susceptibles d'améliorer le fonctionnement cognitif.

La psychologue Denise Park a prévenu que la nouvelle activité doit être étrangère et stimulante mentalement, puisque cela se traduira par une large stimulation mentale et sociale. Il faut sortir de sa zone de confort pour obtenir des bienfaits, a-t-elle ajouté.
Mme Park et ses collègues ont demandé à 221 adultes âgés de 60 à 90 ans de participer à une activité 15 heures par semaine pendant trois mois. Certains sujets ont dû apprendre quelque chose de nouveau, comme la photographie numérique, l'assemblage courtepointe ou les deux, qui faisait appel à la mémoire de travail, à la mémoire à long terme et à d'autres fonctions cognitives de haut niveau.

Les chercheurs ont confié à d'autres participants des tâches plus familières à effectuer chez eux, comme les mots croisés ou l'écoute de musique classique. Un troisième groupe de sujets a dû participer à des activités sociales comme des rencontres, des randonnées ou des spectacles.

Au bout de trois mois, les scientifiques ont constaté que seuls les participants qui s'étaient livrés à des tâches difficiles avaient amélioré leur mémoire, comparativement au groupe social ou au groupe qui avait effectué des exercices faciles.



Mme Park et ses collègues comptent assurer un suivi sur un an et sur cinq ans avec leurs sujets, de manière à déterminer si les changements observés sont durables.
Les conclusions de l'étude sont publiées dans la revue Psychological Science.



Ce que l’article ne dit pas, c’est que concevoir des grilles de mots croisés préserve les habiletés cognitives, j’en ai la preuve avec mon vieux goûteur.

Les mots croisés d’Isatis – 03










Horizontalement
I. Youpi!  II. Dans la farine, c’est peut-être criminel  III. Chanfrein  IV. Imbattables en carré – Bidous  V. Patrie de haricot  VI. Dressé – Début d’éternité  VII. Truc en plumes étouffant  VIII. Tordent pour assembler

Verticalement
1. Pour tirer un trait  2. Liberté  3. Consultés – Demi-mile  4. Pour améliorer le vin ou le poulet.  5. Prénom biblique  6. Charognard des tropiques – À la tête de la Belgique  7. Chevalière?  8. À la bombe ou à la pudeur


mercredi 23 octobre 2013

Bonheur de lecture




Il arrive qu’une petite phrase lue dans un livre résume assez bien la totalité de l’ouvrage. Voici celle qui me donne un juste éclairage du roman On ne joue pas avec la mort, de Emily St. John Mandel :

« (…) Il fut un temps où je trouvais cette phrase d’une extrême banalité. Qu’est-ce que vous faites ? Je trouvais que c’était synonyme de Combien vous gagnez ? Mais depuis quelque temps, je commence à penser que c’est la question la plus importante qu’on puisse poser à quelqu’un. Qu’est-ce que vous faites ? Quelle est votre occupation actuelle ? Quelle est votre ligne de conduite dans la vie, comment vous situez-vous par rapport au monde ? »

Ce passage rejoint la citation de Tolkien :
« La seule chose que l’on puisse décider
est que faire du temps qui nous est imparti. »

mardi 22 octobre 2013

L'autre en nous






« En chacun de nous existe un autre être que nous ne connaissons pas.
Il nous parle à travers le rêve et nous fait savoir qu’il nous voit 
bien différent de ce que nous croyons être. »

Carl Gustav Jung

lundi 21 octobre 2013

Écrire en plein sommeil...




L’obsession du texto s’empare aussi du sommeil
Chronique de Fabien Deglise publiée dans Le Devoir, le 17 octobre 2013

Le rapport trouble que l'humanité est en train d'entretenir avec l'instant présent, en format numérique, ne fait plus l'ombre d'un doute. C'est en tout cas ce qu'indique The Atlantic dans un dossier fascinant qui lève le voile, de manière ostentatoire, sur un nouveau phénomène qu'il n'est pas étonnant de voir apparaitre, mais qui fait malgré tout dangereusement sourire: le «textambulisme», phase communicatif par l'entremise d'un téléphone dit intelligent du bon vieux somnambulisme.

Texter pendant son sommeil et surtout ne pas s'en souvenir le lendemain matin: la chose est loin d'être une anecdote, indique le magazine qui qualifie même la chose de «phénomène en croissance», particulièrement chez les adolescents et jeunes adultes qui ont fait entrer leur obsession communicative dans leur état de veille. Quand on pense être arrivé aux limites des surprises, la modernité en a visiblement toujours une petite nouvelle en réserve pour nous!

Message texte adressé à un amour inavoué, déclaration à un ex-compagnon dans une langue un brin confuse, évocation d'une personne décédée dans un message envoyé à une amie... les cas exposés dans ce papier sont étranges. Ils font également tous référence à un réveil avec un téléphone en main et surtout un grand embarras après la découverte de ces communications nocturnes involontaires.

Pour Michael Gelb, prof à la New York University et fondateur du Gelb Center où les troubles du sommeil sont scrutés à la loupe, l'apparition du «textambulisme», dans une époque surconnectée, serait facile à comprendre, même si, à la base, ce sont surtout des conditions physiques pas très technologiques qui nourrissent cette nouvelle bête: obésité, haute pression, trouble cardiovasculaire... Le stress et l'anxiété sont également pointés du doigt. La rencontre de tout ça avec la prolifération des appareils de communication en format mobile dans nos poches donne le reste.

Du coup, Gelb recommande à ses patients affligés par ce mal moderne de s'éloigner 30 minutes avant de se mettre au lit de ce genre d'objets qui appellent à l'exposition du soi, y compris lorsque l'état de conscience est altéré. Une recommandation qu'il est préférable pour eux ne pas texter pendant leur sommeil, histoire de s'en souvenir le lendemain matin.


dimanche 20 octobre 2013

La pensée du dimanche





« J'aime penser que la lune est là 
même si je ne la regarde pas. 
»

Albert Einstein