lundi 15 février 2016

Bonheur de lecture


« Ma fille s’est endormie sur mon sein. 
Toutes deux ainsi fusionnées devant l’ampleur de la forêt, 
sous le ciel immense où se déploient, sauvages, les nuages,
 nous sommes ensemble et te saluons, 
Suze. 
Je me souviens de toi. 
Nous nous souviendrons de toi.» 

Ainsi se termine le livre d’Anaïs Barbeau-Lavalette, La femme qui fuit. C’est le récit poétique et très touchant d’une femme qui cherche à connaître une grand-mère qu’elle n’a pas connue, celle-ci ayant abandonné ses enfants pour vivre libre.  

«C’est l’aventure d’une femme explosive, une femme volcan, une femme funambule restée en marge de l’histoire, qui traverse librement le siècle et ses tempêtes. 
«Pour l’auteure, c’est aussi une adresse, directe et sans fard, à celle qui blessa sa mère à jamais. (extrait de la quatrième de couverture)»




2 commentaires:

  1. Merci pour ce feu de foyer réconfortant ce matin et pour la
    suggestion de lecture. Je vais me procurer de livre.

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    Réponses
    1. Bonjour Puce,
      Tu vas sûrement apprécier ce portrait d’une femme qui fut un monstre d’égoïsme pour mieux épouser toutes
      sortes de causes. En toile de fond, des personnages qui ont eu une grande importance dans l’histoire des arts au
      Québec, Borduas, Riopelle, et Marcel Barbeau, le grand-père de l’auteure. Écrit avec un grand respect et beaucoup d’indulgence pour tous ceux et celle qu’elle met en scène.

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