vendredi 12 décembre 2014

Le clin d’oeil du chat (24)



Je ne sais pas si c’est parce que je suis un chat, mais je trouve les êtres humains bien mal inspirés quand ils décident de se choisir un héros. Tout d’abord, ils attendent que le patineur décède pour le porter aux nues, puis ils lui font des funérailles nationales. 

Ne le répétez à personne, mais je suis très heureux que ma mère ait choisi de m’apprendre à écrire au lieu de me mettre des patins aux pieds.

2 commentaires:

  1. Bonjour Messidor,

    Je suis d'accord avec toi. C'est toujours comme ça. La fierté vient avec la mort. Même les
    peintres vivent ça.

    Moi ma mère adoptive ne m'as pas mis de patin non plus, mais...elle me mets des bottes
    au pattes et un manteau l'hiver! Des fois, j'aimerais ça être un chat.

    Monsieur Victor

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  2. Bonjour Victor,

    Oui, les humains sont de drôles d’ostrogoths,
    qui ont de bien drôles de héros... !

    Tu m’as fait rigoler ce matin, j’aimerais bien voir
    une photo de toi, costumé ainsi.
    (Je te donnerai ma date d’anniversaire en mp
    afin que tu m’envoies un cliché...)
    Moi, ce que j’aimerais,
    ce serait de me réveiller demain
    et que ce soit le printemps...!

    Salut, au plaisir !

    RépondreSupprimer

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