Je me considère
chanceuse d’avoir pu photographier ce charmant petit oiseau bleu qui se
promenait la tête en bas sur l’un des peupliers deltoïdes qui bordent le
terrain. La photo n’est pas très nette, les conditions n’étaient pas idéales, j’en
ferai d’autres… Chose certaine, un petit être à découvrir comme en témoigne
l’extrait qui suit.
La Sittelle à poitrine blanche
extraits de Wikipédia (voir lien
ci-dessous)
«La Sittelle à
poitrine blanche se nourrit sur les troncs d'arbres et les branches, souvent la tête en bas. Elle
place une graine dans une crevasse de l'écorce et tape dessus pour
l'ouvrir avec le bec. Elle peut aussi cacher de la nourriture dans ces
crevasses pour plus tard. Elle escalade les troncs de bas en haut et
inversement. Elle cherche des insectes
cachés dans les crevasses le long des branches. Elle peut se nourrir sur le sol
en sautillant. Ce sont des oiseaux diurnes.
La Sittelle à poitrine blanche ne migre pas, et défend son territoire toute
l'année. Celui-ci est dominé par le mâle, mais les deux sexes vivent sur le
même territoire. Pendant l'hiver, ils peuvent l'abandonner pour trouver de la
nourriture ailleurs en rejoignant des groupes d'autres oiseaux, et en
fréquentant les mangeoires. La sittelle à poitrine blanche est monogame. Les couples
restent unis toute l'année, jusqu'à la mort ou la disparition de l'un des deux
partenaires. La parade nuptiale
comprend des chants nuptiaux par le mâle, et des offrandes de nourriture à la
femelle. Quand un couple est en train de creuser un trou, les partenaires se
félicitent l'un l'autre. Le mâle travaille avec empressement, enlevant les
débris d'écorce ciselés par la femelle. Il se pavane autour d'elle, et piaille
dans le trou, ou voltige autour d'elle. Et tandis qu'elle couve les œufs, il la
nourrit et prend soin d'elle. La Sittelle à poitrine blanche aime beaucoup
dormir dans son propre nid, l'utilisant ainsi année après année, le nettoyant
ou le creusant au moment de la nidification. Quand un prédateur vient près du
nid, la sittelle réplique en donnant des coups de bec et en agitant ses ailes,
lançant des sons tels que « hn-hn ». Quand les parents quittent le
nid, ils le nettoient autour avec des poils ou des plantes pour éviter que les
prédateurs le trouvent grâce à son odeur. »
Merveilleux ces oiseaux. Nous en avons aussi ici ainsi que des mésanges, des geais et des cardinal qui viennent vider nos mangeoires. Nous avons en prime des lièvres qui viennent gober les graines qui sont tombées par terre.
RépondreSupprimerBonjour Puce,
RépondreSupprimerMerci pour ton commentaire.
Quel plaisir de voir que tous ces oiseaux peuvent braver le
vent et le froid avec autant de légèreté.
Merci d'être passée par ici!